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Le Blog de Frédéric Legros
19 novembre 2017

Souvenirs, souvenirs...

Je viens de me rendre compte d'un truc, un truc que j'avais mis un peu de coté, OUBLIé. Il y a plus d'une décennie, j'ai participé de plus ou moins près à la naissance de l'éditeur toulousain Monsieur Toussaint Louverture, une contribution modeste et 3-4 années à dédicacer aux cotés de l'illustre Julien Campredon, auteur du savoureux Brûlons tous ces punks pour l'amour des elfes (qui a été ré-édité en poche chez Pocket... quand on édite en poche, c'est clairement le début de la Gloire), j'ai publié 3 nouvelles dans 3 de leurs recueils. Déjà à l'époque, j'étais impressionné par la qualité des ouvrages qui tendaient autant à être de bons livres que de beaux livres : le papier et la reliure étaient véritablement luxueux (le genre avec du filigrane de diamant).

Autant dire que j'ai côtoyé du gratin littéraire durant cette période de ma vie, croisant notamment Jean d'Ormesson que des organisateurs d'un salon avaient sollicité pour nous faire un amical coucou. Hier, j'ai vu Gérard Depardieu à la télé dire du bien d'un livre de Monsieur Toussaint Louverture (Le Dernier stade de la soif de Frederick Exley), et par degré de séparation, je me suis dit que Vladimir Poutine n'était pas très loin de moi. J'avais tout simplement oublié que j'avais participé à cette aventure. Aujourd'hui, je me suis aperçu qu'ils avaient toujours en catalogue un de ces recueils (épuisé forcément) dans lequel une nouvelle de Lewis Beckerell figurait et que, vous en pensez ce que vous voulez, ça m'a fait tout bizarre.

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http://monsieurtoussaintlouverture.goodsie.com/tu-dis-%C3%A7a-parce-que-tu-maimes

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